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                                 Les cadres dessinés de certains timbres modifient ©PHILAO-135
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                                 l'allure,  ainsi,  bien  qu'ils  soient  au  format  φ,  les
                                 timbres ci-contre semblent plus allongés.
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                                 La  cour  d'amour  sans  le  cadre  se  rapproche  du
                                 format «     A     ».
                                 D'autres se rapprochent d'un format plus courant
                                 qui sera décrit dans le prochain chapitre (16/9e).
                                 Sans leurs marges, les insectes et certains fruits, de
                                 même que les timbres émis pour l'année du livre
                                 ont, sans leur marge, une forme à mi-chemin entre
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                                 le rectangle «         A         » (Rapport 1,41) et le rec-
                                 tangle 4/3 (Rapport 1,33) soit environ un rapport
                                 de 1,37.
         68  Constituant  douze  valeurs  au
         total,  il  s'agit  de  la  toute  pre-
         mière  série  émise  pour  le
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         royaume  du  Laos,  le  13  no-
         vembre  1951.  Le  timbre,  non
         figuré  ici  car  d'un  format  diffé-
         rent, portant la valeur faciale de
         une  piastre et demie représente
         le  roi  Sisavang  Vong.  Ce  sera  le
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         premier timbre du prochain cha-
         pitre.  Une  série  à  effigie  du  roi
         sera  émise  en  1959  Cf.  N°  73
         (Infra).
         Pour le Mékong représenté sur le
         premier timbre de ce chapitre-ci,
         le  dessin,  d'après  photo,  et  la
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         gravure  sont  confiés  à  Charles-
         Paul  Dufresne,  artiste  de 66  ans
         alors reconnu (Voir Philao n° 116
         pages 8 à 11). «    Dans la vie des
         Lao, le Mékong occupe une place
         capitale    » écrit Philippe Drillien,
         et il le démontre In Philao n° 15
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         page 239.
           René  Cottet  a  gravé,  peut-être
         d'après une maquette qu'il aurait
         lui-même dessinée, ce sanctuaire
         du  Vat  Xieng  Thong  de  Louang
         Phrabang  (Cf.  In  Philao  n°  16
                                                                                               ©PHILAO-135
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         pages  253  et  suivantes,  l'article
         signé  Philippe  Drillien  d'après
         Thao Boun Souk)*.
           Le  That  Louang  de  Vientiane,
         «    L'un des monuments les plus
         connus du Laos    » d'après Pierre
         -Marie Gagneux (In  Philao  n°  17
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         pages 270 et suivantes)*, dessiné, sans doute, et gravé par Jean Pheulpin qui aurait laissé ses
         initiales bien cachées dans la marge du timbre afin que Mario Gonzalez, fin limier, ne les dé-
         couvre 57 ans plus tard (Philao n° 71, page 20)*.
         69  Nous pénétrons directement, avec ce timbre apprécié des philatélistes, dans l'univers pri-
         vé de Marc Leguay «    Peintre du Laos    »  ainsi nommé par Francis Benteux (Marc Leguay, Le
         peintre du Laos Les éditions de l'amateur) qui a recensé une grande partie de son œuvre pic-
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         turale. Philippe Drillien a rencontré le peintre et a rédigé en 1974 un très intéressant compte-
         rendu de l'entretien (Philao N°8 pages 125 et suivantes)*.

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